Nous avons des milliers de pensées par jour et pour la plupart nous n’en sommes même pas conscients. De combien de pensées vous souvenez-vous à la fin de la journée ? Très peu j’en suis sûre…
Le problème n’est pas d’avoir des pensées mais bien souvent, nos pensées inconscientes (dont nous n’avons pas consciences) sont tournées vers des problématiques, des ruminations, des situations passées regrettées ou au contraire des situations futures redoutées. Quelle est la probabilité pour que tous les scénarios catastrophes envisagés par votre cerveau se réalisent ? Elle est faible mais à force de mettre le focus dessus, en pensant sans cesse à cela, la probabilité que cela se produise augmente car ces pensées vont nous créer du stress pouvant conduire à cette maladie tant crainte. O
Nous avons des milliers de pensées par jour et pour la plupart nous n’en sommes même pas conscients. De combien de pensées vous souvenez-vous à la fin de la journée ? Très peu j’en suis sûre…
Le problème n’est pas d’avoir des pensées mais bien souvent, nos pensées inconscientes (dont nous n’avons pas consciences) sont tournées vers des problématiques, des ruminations, des situations passées regrettées ou au contraire des situations futures redoutées. Quelle est la probabilité pour que tous les scénarios catastrophes envisagés par votre cerveau se réalisent ? Elle est faible mais à force de mettre le focus dessus, en pensant sans cesse à cela, la probabilité que cela se produise augmente car ces pensées vont nous créer du stress pouvant conduire à cette maladie tant crainte. Ou à force de repenser à cet évènement survenu dans le passé, nous gardons de l’amertume en nous qui se transforme en colère car l’émotion n’est pas exprimée ni évacuée. Et cette colère peut à un moment nous faire peter les plombs et faire un acte insensé.
Il est donc important de prendre conscience des pensées qui nous traversent l’esprit et de les changer si nécessaire. Comment ? La première étape est de faire attention à nos pensées, de voir si elles sont plutôt “positives”, légères, joyeuses ou au contraire “négatives”, lourdes, stressantes. Une fois que l’on voit dans quel schéma on se trouve, on peut le changer. Au lieu de faire le focus sur tout ce qui ne va pas dans votre vie, commencez tous les jours par voir deux ou trois choses positives comme “je suis en bonne santé”, “j’ai un toit pour dormir”, “je peux manger à ma faim”, “j’ai des amis sur qui je peux compter”, “j’ai une famille aimante”, ou plus simplement se remémorer le sourire d’un inconnu dans la rue, le compliment d’un collègue sur notre travail, la pause que vous vous êtes offerte au soleil sur l’heure de midi…
Nous pouvons nous réjouir de plein de choses, tout dépend des lunettes que l’on porte. Vos lunettes sont-elles teintées d’optimisme et se concentrent sur le positif de votre vie ? Ou au contraire, vos lunettes sont teintées de pessimisme et se concentrent sur tout ce qui ne va pas dans votre vie, tout ce qui vous manque, tout ce que vous souhaitez changer ? Quel genre de lunettes souhaitez-vous porter ?
Si vous portez le deuxième type de lunettes et que vous voulez les changer, quand une pensée “négative” survient, observez ce que cela crée dans votre corps (stress, tension, lourdeur,…) et demandez-vous “comment je peux changer cette pensée pour la rendre plus légère, plus optimiste”. Demandez-vous “quel évènement a provoqué cette pensée ?”. C’est le début du travail.
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